
Description
Bonjour à toutes à et tous,
Quatrième étape de notre séjour en Polynésie française: Raiatea
Raiatea est le paradis des plongeurs qui viennent explorer les fonds marins. Mais ce qui m’intéresse dans le coin c’est surtout… allez, un peu de suspens vous verrez cela plus loin.
- Poissons de lagon
- Poissons de lagon
- Poissons de lagon
- Poissons de lagon
- Poisson Rose
- Poisson Peep
Notre bungalow a été joliment décoré pour notre arrivée. Plus tard je demanderai à la propriétaire d’où proviennent les magnifiques hibiscus et tiare qui ornent en quantité toute la pension. Elle me renseigne. Ils possèdent une grande propriété et de l’autre côté de la route se trouve une plantation d’hibiscus. Je comprends mieux maintenant comment il est possible d’avoir autant de fleurs fraîches chaque jour.
A la réception ce matin, nous organisons notre tour de l’île. Mission location de voiture avec siège bébé (pas si évident que cela). Pour l’itinéraire, c’est simple, il n’y a qu’une route.
- Les magnifiques hibiscus
- La plus belle des fleurs
J’essaie de trouver le nom de cette magnifique plante tropicale qui fait de si jolies feuilles. Si un botaniste pouvait m’écrire en commentaire son nom je lui en serait grandement reconnaissante.
Au goûter, c’est bananes, papayes, mangues à volonté.
On petit-déjeune à Uturoa avant de se lancer dans un tour de l’île.
Premier arrêt sur notre trajet, le Marae Taputapuatea, le plus important marae de Polynésie française. Il est dédié à Oro, le dieu de la guerre.
- Marae Taputapuatea
- Marae Taputapuatea
- Marae Taputapuatea
- Marae Taputapuatea
- Marae Taputapuatea
- Marae Taputapuatea
- Marae Taputapuatea
- Marae Taputapuatea
Deuxième arrête de notre tour de l’île: le restaurant du Opoa Beach Hotel. Tout en bois et peint de blanc, l’endroit nous offre une halte très agréable sur notre itinéraire. Et en prime on se régale.
- Opoa Beach Hotel
- Opoa Beach Hotel
- Opoa Beach Hotel
- Opoa Beach Hotel
- Opoa Beach Hotel
- Opoa Beach Hotel
- Opoa Beach Hotel
- Opoa Beach Hotel
En continuant notre tour de l’île on observe différents monts sur notre droite et toujours plus de motus sur notre gauche. Cette proximité entre mer et montagne me rappelle la Réunion. Seules les jeunes îles et les jeunes reliefs présentent cette géographie et on y ressent une énergie particulière.
- Motu
- Motu
Qui dit relief et monts ennuagés dit eau en abondance.
Notre seconde mission comme je l’annonçais en début d’article ne relève pas de plongées sous-marine, mais a tout de même à voir avec les éléments marins. Depuis très longtemps je rêve de visiter une ferme perlière. Nous prenons un ferry à Uturoa pour nous rendre à Tahaa, la capitale des perles. Bianca elle adore le bateau et tente de lancer la discussion avec tous les autres passagers.
- Bianca
- Bianca
Arrivés à Tahaa, nous sommes déconcertés. Aucun transport en commun (ça, on était prévenu). On comptait faire du stop. Mais là, aucune voiture. Pas de traffic, rien. Alors on appelle la ferme et Maeava interrompt son déjeuner et vient gentiment nous chercher.
- Portrait de famille
- Peep, Rose et Bianca
Dans cette petit baraque sur l’eau, un japonais procède à une opération délicate. Il opère de manière chirurgicale les huîtres. Pour produire une perle, il insère un nucléus, un petit noyau rond en matière de coquillage. Pour former une perle il faut environ 18 mois à une huître pour recouvrir le nucléus de nacre. Les standards polynésiens sont bien plus exigeants que ceux d’autres pays. Ainsi la couche de nacre est suffisamment épaisse et la couleur tient sur le long terme.
Mais il arrive que l’huître rejette le nucléus. Cependant elle continue toujours à produire de la nacre. Le résidu de nacre grossit doucement. Il s’appelle ‘keshi’. Le résultat est tout aussi brillant et coloré que la perle car il est constitué de nacre pure.
- Nucléus
- Keshis
- Huîtres perlières
- Keshis, huître perlière et nucléus
Pour obtenir des huîtres perlières il y a plusieurs façons. La plus simple consiste à les acheter. Il est aussi possible de piéger des micro huîtres en faisant traîner dans l’océan des lignes où elles vont s’accrocher. Puis grandir.
- Huîtres perlières
- Huîtres perlières
- Huîtres perlières
- Bianca
- Bianca
La superbe architecture en bois de l’atelier.
De retour chez nous, on arrive juste à temps pour le coucher de soleil. On se prépare un apéro puis direction le ponton.
- Sunset Beach Motel
- Sunset Beach Motel
Deux françaises se joignent à nous. Lorsque subitement un coup de vent fait s’envoler leur paquet de Haribo. Dans un élan à dimension écologique, elles hurlent en coeur qu’elles ne peuvent pas laisser ce plastique vagabonder dans l’océan 5000 ans, elles qui sont venues faire de la plongée. Alors ni une ni deux, elles plongent dans l’eau et rattrape le sachet vide. Avant qu’elles ne sautent j’ai faillit leur faire remarquer que si une seule y allait c’était suffisant, mais je crois que ça les a beaucoup amusé de sauté tout habillées depuis le plongeoir. Et puis je leur ai fait une photo pour Instagram 😉 Hé oui c’est ça aussi la vie sur le net, ça pousse parfois à faire des choses sympas. Un petit geste pour la planète qu’elles se sont empressées de partager sur Facebook. Si tout le monde pouvait se jeter à l’eau pour rattraper son paquet de chips au lieu de lancer sa canette par la vitre de la voiture, halala.
- Tahaa
- Tahaa
- Tahaa
- Sunset Beach Motel
- Sunset Beach Motel
Je ne m’en lasserai jamais de ces fleurs. Olivia avait bien raison, c’est la meilleure saison pour venir en Polynésie. Elles sont partout!
- Hibiscus
- Hibiscus
- Hibiscus
Un petit tour de la maison avant notre départ. L’immense terrasse avec vue sur la mer, la plantation de cocotiers, et ce bungalow plus grand que notre appartement.
Au revoir Raiatea! Prochaine destination et pas des moindres: Bora Bora. Ça résonne comme un doux rêve. Je n’en reviens toujours pas…